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BEN X (BANDE ANNONCE VOST 2007) de Nic Balthazar

Publié le par ERIC-C

BEN X

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de Nic BALTHAZAR

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avec Greg TIMMERMANS - Laura  VERLINDEN - Marlike PINNOY

 .BEN-X.jpg

L'HISTOIRE : Ben n'est pas un adolescent tout à fait comme les autres. Choyé par sa mère et protégé par son petit frère, il vit dans son propre monde. Pour lui, l'extérieur est d'une violence inouïe. Aller à l'école est devenu chaque jour un peu plus un enfer depuis que deux types de son lycée technique lui rendent la vie impossible, ne cessant de le traquer, de le harceler, de l'humilier, le poussant lentement mais sûrement à bout.
Son unique havre de paix est sa chambre. Dès qu'il s'y retrouve, il allume son ordinateur et plonge dans le seul univers où il se sente bien et un peu plus en " sécurité ", celui d'Archlord, un jeu en ligne fascinant. Il devient alors Ben X, un héros prêt à tout, invincible, qui a le coeur battant pour une certaine Scarlite. Alors qu'il décide d'en finir avec son douloureux quotidien - par le seul moyen qui trouve grâce à ses yeux ? cette jeune fille énigmatique va entrer dans sa vie...

Ben X - Greg Timmermans

Ben X - Greg Timmermans

Ben X - Laura Verlinden et Greg Timmermans

Ben X - Laura Verlinden et Greg Timmermans

Ben X - Greg Timmermans

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(BANDE ANNONCE VOST 2007)



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LES TOILETTES DU PAPE avec Cesar TRONCONSO, Virginia MENDEZ, Mario SILVA, Virginia RUIZ - 19 03 2008

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LES TOILETTES DU PAPE

(El Baño del Papa)

de Enrique FERNANDES et César CHARLONE

avec Cesar TRONCONSO - Virginia MENDEZ - Mario SILVA - Virginia RUIZ

Les Toilettes du Pape

L'HISTOIRE :

Uruguay, Melo. 1988. A l'annonce de la visite du Pape, les habitants s'agitent tout particulièrement. Jean-Paul II commencera sa tournée en Uruguay par leur petite ville. Plus de 50 000 personnes sont attendues. Les plus modestes pensent que cette visite sera miraculeuse pour leur âme et leur porte-monnaie. Tous n'ont plus qu'une idée en tête : vendre sandwiches, boissons et autres petits objets, à la foule qui se pressera pour accueillir le Pape.
Beto, un petit contrebandier qui survit misérablement de ses allers-retours en vélo à la frontière brésilienne, rêve de pouvoir s'acheter une moto. Beto pense alors avoir la meilleure des idées, il décide de construire des toilettes devant sa maison et de les louer.

Les Toilettes du Pape

Les Toilettes du Pape

Les Toilettes du Pape

Les Toilettes du Pape

Les Toilettes du Pape

A PARTIR DU 19 MARS 2008 AU CINEMA

 

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ACTUELLEMENT : L'ETE INDIEN (BANDE ANNONCE VF) 19 03 2008

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LES AJOUTS DES 30 DERNIERS JOURS DANS MON BLOG (ICI), (ICI) LE CALENDRIER DES SORTIES FILMS

L'ETE INDIEN

de Alain Raoust

avec Johan Leysen, Johanna ter Steege, Déborah François

 L'Eté indien

L'HISTOIRE : René Kreumeykers habite avec sa fille Suzanne dans une station de ski des Alpes du Sud. Flamand exilé en France depuis des années, il vivote tant bien que mal en tachant d'oublier une ancienne vie. Une lettre et soudain son passé le rattrape.
Face à un secret qu'il ne peut plus cacher, il doit affronter à nouveau l'homme qu'il a été. Au risque de perdre sa fille...

L'Eté indien - Déborah François

L'Eté indien - Déborah François et Johan Leysen

L'Eté indien

A PARTIR DU 19 MARS 2008 AU CINEMA

(BANDE ANNONCE)



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Le retour de Roscoe Jenkins avec Martin LAWRENCE, Michael Clarke DUNCAN, Mike EPPS, James EARL JONES

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Le retour de Roscoe Jenkins (2008)

(Welcome Home, Roscoe Jenkins)

de Malcolm D. LEE (LA FIEVRE DU ROLLER)

avec Martin LAWRENCE - Michael Clarke DUNCAN - Mike EPPS - James EARL JONES - Joy BRYANT

Musique : David NEWMAN

L'HISTOIRE : 

Un animateur enrichi par le succès de son talk-show, doit revenir dans sa famille, loin des paillettes de la télévision, pour fêter l'anniversaire de mariage de ses parents. Un douloureux retour aux sources l'attend.

CINEMA : 19 MARS 2008

 

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ACTUELLEMENT : MON FUHRER (BANDE ANNONCE VOST) 12 03 2008

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MON FUHRER - la vérité vraiment véritable à propos d'adolf hitler

(Mein Führer - Die wirklich wahrste Wahrheit über Adolf Hitler)

de Dani Levy

avec Helge Schneider, Ulrich Mühe, Sylvester Groth

Mon Führer

L'HISTOIRE : 1944-1945 : Adolf Hitler va mal, très mal. Il est déprimé et profondément vexé par cette guerre contre les Alliés, qui est quasiment perdue. Le ministre de la propagande Joseph Goebbels tente alors désespérément de le remettre sur pied afin de lui faire tenir un grand discours à Berlin, "comme au bon vieux temps". Mais pour cela, Hitler a besoin d'un coach pour le motiver.
Goebbels se souvient alors de Grünbaum, un professeur de théâtre juif. Ce dernier, emprisonné dans le camp de concentration de Sachsenhausen, se voit immédiatement libéré pour refaire d'Hitler un véritable dictateur. Au programme de sa remise "en forme" : des exercices de respiration ou quelques astuces psychologiques pour faire taire sa mauvaise conscience...

Mon Führer - Helge Schneider

Mon Führer - Helge Schneider et Katja Riemann

Mon Führer - Helge Schneider et Ulrich Mühe

Mon Führer - Katja Riemann et Helge Schneider

Mon Führer - Katja Riemann, Helge Schneider et Ulrich Mühe

A PARTIR DU 12 MARS 2008 AU CINEMA

(BANDE ANNONCE VOST)



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ACTUELLEMENT : LE VOYAGE DE PRIMO LEVI (BANDE ANNONCE VOST) 12 03 2008

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LE VOYAGE DE PRIMO LEVI (LA STRADA DI LEVI)

Documentaire de Davide FERRARIO

 Le Voyage de Primo Levi

L'HISTOIRE : Le 27 juin 1945, Primo Levi est libéré d'Auschwitz. Il mettra dix mois à rentrer à Turin, traversant la Pologne, l'Ukraine, la Roumanie, la Hongrie, l'Autriche et l'Allemagne. Il racontera ensuite les aventures, rencontres et observations de ce voyage dans son livre, La Trêve.
Soixante ans plus tard, Davide Ferrario et son scénariste Marco Belpotili suivent à leur tour cet itinéraire à travers l'Europe post-communiste.
Ce road movie sur les pas de Primo Levi est aussi une peinture de cette nouvelle Europe encore reliée aux restes de l'Union soviétique, ses mouvements neo-nazis, Tchernobyl, les villages d'immigrés...

Le Voyage de Primo Levi

Le Voyage de Primo Levi

Le Voyage de Primo Levi

Le Voyage de Primo Levi

A PARTIR DU 12 MARS 2008 AU CINEMA

(BANDE ANNONCE VOST)



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ACTUELLEMENT : JULIA (BANDE ANNONCE VOST) de Erick ZONCA - 12 03 2008

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JULIA

de Erick ZONCA (LA VIE REVEE DES ANGES - LE PETIT VOLEUR)

avec Tilda Swinton, Saul Rubinek, Kate del Castillo, Aidan Gould, Jude Ciccolella, Bruno Bichir, Horacio Garcia Rojas

Julia

L'HISTOIRE : Julia, séductrice et grande gueule a de plus en plus de mal à cacher son alcoolisme et finit par perdre pied. Une rencontre l'entraîne dans un engrenage infernal qui l'amène à kidnapper Tom, un enfant de huit ans. Commence alors une fuite sans issue à travers le sud des Etats-Unis et qui les conduira jusqu'au Mexique.

Julia - Tilda Swinton

Julia - Aidan Gould

Julia - Tilda Swinton

Julia - Tilda Swinton

Julia - Tilda Swinton et Aidan Gould

A PARTIR DU 12 MARS 2008 AU CINEMA

(BANDE ANNONCE VOST)



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QUELLE CLASSE MA CLASSE (BANDE ANNONCE) 13 03 2008

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QUELLE CLASSE MA CLASSE !

Documentaire de Philippe TROYON (LA FLACHE - 1995)

L'HISTOIRE :  A l'entrée en sixième, 60 nationalités et un niveau scolaire parmi les plus bas de France. Paradoxe, dès la sortie en troisième, des résultats au brevet des collèges qui rivalisent avec les meilleurs et classent l'établissement parmi les 20 premiers du département. Comment enseigner aujourd'hui ? Comment donner l'envie d'apprendre à des enfants qui peuvent, dès leur plus jeune âge, être confrontés à une certaine exclusion de la société ? Ces réponses, l'équipe pédagogique du collège Pierre Sémard les ré-invente chaque jour en fédérant les élèves sur des projets éducatifs et artistiques où la participation de chacun rend les enfants responsables à la fois d'eux-mêmes, mais aussi des autres. La classe de cinquième A mène depuis deux ans un projet de classe artistique qui invite les élèves, à travers la danse contemporaine et l'écriture poétique, à une création sur le thème du voyage.

A PARTIR DU JEUDI 13 MARS 2008 AU CINEMA

(BANDE ANNONCE)



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Moving McAllister (BANDE ANNONCE VO 2007) avec Benjamin Gourley, Jon Heder

Publié le par ERIC-C

Moving McAllister

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Comédie américaine de Andrew Black

avec Ben Gourley, Jon Heder, Mila Kunis, Rutger Hauer, Patrika Darbo, Billy Drago, Catherine Grace, Whitby Hertford, Geoffrey Lewis

 Moving-McAllister.jpg

L'HISTOIRE :  Rick Robinson est un étudiant sous exploité dans un célèbre cabinet juridique de Miami : son temps se divise entre faire des photocopies et réviser son examen, qui lui permettra bientôt de devenir un vrai avocat. Un jour, il croise par hasard un des patrons du cabinet et accepte de lui rendre un service : transporter un mystérieux chargement jusqu'à Los Angeles. La mission se complique lorsqu'il apprend qu'il doit enmener avec lui la nièce du patron, ainsi que son cochon...

 

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(BANDE ANNONCE VO 2007)

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Nicole KIDMAN dans MARGOT VA AU MARIAGE (BANDE ANNONCE VOST 2007)

Publié le par ERIC-C

MARGOT VA AU MARIAGE (MARGOT AT THE WEDDING)

de Noah BAUMBACH (LES BERKMAN SE SEPARENT)

avec Nicole KIDMAN - Jennifer JASON-LEIGH - Jack BLACK - John TURTURRO

L'HISTOIRE : Une jeune femme, Pauline, est sur le point de se marier. Elle reçoit la visite de sa soeur, Margot, accompagnée de son fils de 12 ans. Celle-ci ne comprend pas le choix de Pauline.

 

(BANDE ANNONCE VOST 2007)



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ACTUELLEMENT : COURS TOUJOURS DENNIS (BANDE ANNONCE VF) 05 03 2008

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COURS TOUJOURS DENNIS (RUN, FATBOY, RUN)

de David SCHWIMMER (vu dans FRIENDS - JOEY....)

avec Simon PEGG - Thandie NEWTON - Hank AZARIA

L'HISTOIRE : Cinq ans après avoir abandonné Libby, sa fiancée enceinte, en pleine cérémonie de mariage, Dennis réalise qu'il est toujours amoureux d'elle et qu'il a fait l'erreur de sa vie. Grâce à Jake, leur petit garçon, il continue de la voir très fréquemment.
Quand il rencontre le nouveau fiancé de Libby, Whit, un beau et riche golden boy de la City, Dennis comprend qu'avec sa bedaine et son modeste salaire de vigile, son idée de la reconquérir ne s'annonce pas vraiment bien.
Ecrasé par la réussite de Whit et ne sachant plus quoi faire pour le concurrencer, Dennis annonce sur un coup de tête qu'il va courir le marathon de Londres. Pour tenir 42 km et tenter de séduire à nouveau celle qu'il aime, Dennis va commencer un entraînement aussi long que douloureux...

A PARTIR DU 05 MARS 2008 AU CINEMA

(PRE BANDE ANNONCE US VO NON ST)



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La fille coupée en deux de Claude CHABROL avec Ludivine Sagnier, Benoît Magimel, François Berléand

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LA FILLE COUPEE EN DEUX (2007)

de Claude CHABROL (QUE LA BETE MEURE - LE BOUCHER - LES FANTOMES DU CHAPELIER - INSPECTEUR LAVARDIN - LA DEMOISELLE D'HONNEUR - L'IVRESSE DU POUVOIR...)

avec Ludivine SAGNIER - Benoit MAGIMEL - François BERLEAND - Mathida MAY - Caroline SIHOL - Etienne CHICOT - Thomas CHABROL - Marie BUNEL - Jérémie CHAPLAIN - Edouard BAER - Hubert SAINT MACARY - André ASSEO

La Fille coupée en deux - Benoît Magimel et Ludivine Sagnier

L'HISTOIRE : 

Une jeune femme qui veut réussir dans la vie et dont le rayonnement séduit ceux qui l'entourent, s'éprend d'un écrivain prestigieux et pervers, et épouse un jeune milliardaire déséquilibré.

La Fille coupée en deux - François Berléand et Ludivine Sagnier

ENTRETIEN AVEC CLAUDE CHABROL

Le point de départ est un célèbre crime passionnel : l'assassinat de l'architecte du Madison Square Garden …

Oui, il s'agissait de Stanford White, un architecte de Manhattan très en vue à la fin du XIXème siècle, mais aussi un sacré coureur de jupons. Il a été assassiné en pleine gloire, en 1906, par l'époux de sa maîtresse du moment, Evelyn Nesbitt, qui était une petite actrice de music-hall.

Ya-t-il eu une adaptation littéraire ou cinématographique avant LA FILLE COUPÉE EN DEUX ?

Dans son roman Ragtime, E.L. Doctorow y fait allusion, de même que Milos Forman dans le film qu'il en a tiré. Mais il y a surtout eu LA FILLE SUR LA BALANÇOIRE de Richard Fleischer en 1955 qui retrace fidèlement le fait divers.

C'est la première fois que vous collaborez avec Cécile Maistre, votre fidèle première assistante, sur un scénario. J'ai tout de suite pensé qu'elle serait parfaite pour s'emparer de cette histoire. Elle a rédigé un scénario formidablement bien construit que j’ai à peine modifié ! C'est très rare que cela se passe ainsi avec un coscénariste.

Qu'est-ce qui vous intéressait, Cécile Maistre et vous, dans cette affaire ? Nous souhaitions nous attacher à la seule réalité du fait divers pour souligner, un peu à la manière d'un entomologiste, ce qu'elle révèle d'énorme sur la nature humaine ! Il nous a donc semblé essentiel de transposer complètement cette affaire, sans nous préoccuper aucunement du lieu, de l'époque ou de la psychologie des personnages réels. D'ailleurs, je dirais même que ce fait divers est plus facilement envisageable – et donc transposable – aujourd'hui qu'à l'époque où il s'est déroulé.

Le film s'ouvre sur un air de Turandot et un générique nimbé d'une lumière rouge-sang.

Je voulais mettre le spectateur sur une fausse piste : on plonge d'emblée dans l'univers très romantique de Puccini, puis on le quitte tout aussi brutalement lorsque la musique est coupée net sur l'autoradio. Visuellement, cela se traduit par le passage abrupt du virage rouge-sang à la réalité – une réalité dénuée de tout romantisme.

On est immédiatement plongé dans un univers cossu, fait de faux-semblants.

D'un seul coup, on passe de l'exacerbation des sentiments qu'évoque l'opéra à l'univers clinquant de la luxueuse maison de Saint-Denis (François Berléand). C'est un monde en trompe-l'oeil où l'atmosphère sexuelle qui y règne livre une clé au spectateur sur les événements qui vont suivre…

Ce monde en trompe-l'oeil nous amène tout naturellement à la télévision.

Absolument ! J'ai montré les coulisses de la télévision telles qu'elles existent, avec le fond vert du plateau sur lequel on incruste les images et le présentateur qui fait des gestes dans le vide. Ce qui m'intéressait, c'est qu'il s'agit d'un univers de trucages qui renvoie directement au monde des apparences et des faux-semblants dans lequel évoluent les personnages.

Chacun des personnages est perçu par les autres à travers un prisme déformant…

Tout à fait. Ils ont en outre un prisme déformant vis-àvis d'eux-mêmes puisqu'ils sont la plupart du temps extrêmement indulgents avec leur propre personne. C'est encore plus vrai chez le personnage de Benoît Magimel qui est plus fou que les autres : c'est un authentique schizophrène, déchiré entre innocence et culpabilité. A-t-il tué son frère dans la baignoire quand il était enfant ? On n'en saura jamais rien…

On retrouve l'un de vos thèmes de prédilection : la violence des rapports de classe.

On a ici affaire à deux classes sociales qui s'affrontent à pas feutrés : celle des anciens possédants représentés par les personnages de Caroline Silhol et Benoît Magimel et celle des faux puissants – les gens de la télévision et de l'édition qui ne maîtrisent que le pouvoir temporel.

Où se situe Gabrielle Deneige qu'interprète Ludivine Sagnier ?

Elle est encore intègre, mais elle est tentée de se diviser. C'est pour cela qu'elle incarne pleinement la “fille coupée en deux” du titre. Gabrielle est une jeune fille innocente dans sa crédulité même. J'adore la scène où elle s'amène avec une plume dans les fesses dans le bureau de Saint-Denis : celui-ci lui demande si elle ne se sent pas humiliée et elle lui répond qu'elle ne se sent même pas ridicule ! C'est une preuve magnifique de don de soi, et c'est précisément ce que son entourage ne peut supporter.

Peut-on dire que le personnage de Berléand est un opportuniste du plaisir ?

Il prend le plaisir où il est, mais ce n'est pas un personnage foncièrement antipathique pour autant. Je crois qu'il a tout à fait raison de se poser la question de savoir si notre société se dirige vers le puritanisme ou la décadence.

Vous multipliez les lieux "secrets", comme le pied-à-terre de Saint-Denis et le club très privé où l'écrivain emmène Gabrielle.

Ils renvoient à mon intention d'explorer le thème de la perversion sans jamais en montrer. C'est un film d'une chasteté totale alors que les personnages sont hantés par les idées les plus perverses. J'ai été beaucoup aidé par le personnage de Mathilda May qui dégage une étrange sensualité : en la voyant, on se demande aussitôt dans quel univers on s'est aventuré.

C'est de nouveau Eduardo Serra qui signe la photo.

Nous avons noué une vraie complicité au fil des années, et il sait d'emblée ce que j'aime et ce que je n'aime pas. Il a une telle maîtrise que le sens caché des éléments du décor apparaît sans qu'il soit besoin de le souligner.

Le rythme est très particulier. Comment avez-vous travaillé le montage ?

Comme le film s'appelle LA FILLE COUPÉE EN DEUX, je voulais que la notion de rupture apparaisse sans cesse. Très fréquemment, les séquences s'arrêtent avant leur conclusion naturelle ou, au contraire, se prolongent au-delà de ce à quoi on pourrait s'attendre. Pour autant, il n'y a aucune volonté de frapper l'imagination.

Et les cadrages ?

Quand les personnages se fuient eux-mêmes, je les filme de profil, comme pour souligner qu'ils ne livrent qu'une toute petite facette de la vérité. Car il y a certaines de leurs répliques que les comédiens ne pouvaient en aucun cas dire face à la caméra !

Comment s'est passé le casting ?

Avec François Berléand, une complicité est née dès L'IVRESSE DU POUVOIR. C'est un homme que j'aime énormément avoir sur mon plateau. Comme je sais que c'est un vrai séducteur dans la vie, j'avais envie de montrer cette facette de son personnage. Cela fait quelques années que j'avais envie de travailler avec Ludivine Sagnier, mais j'ai vraiment décidé de lui confier le rôle de Gabrielle quand je l'ai vue en fée Clochette dans PETER PAN ! J'avais déjà dirigé Benoît Magimel dans LA FLEUR DU MAL et LA DEMOISELLE D'HONNEUR, où il incarnait des personnages très différents. Pour LA FILLE COUPÉE EN DEUX, il a pris beaucoup de risques en allant loin dans la schizophrénie. En outre, ce qui est formidable chez lui, c'est qu'il est capable d'incarner toutes les classes sociales.

Quelles étaient les contraintes musicales qui se sont imposées à Matthieu Chabrol pour la partition du film ?

Je ne voulais surtout pas d'élans lyriques ou romantiques pendant le film, à l'exact opposé de l'air d'opéra du début. Il a donc travaillé à partir de ses rythmes sériels et atonaux qui installent une atmosphère assez sèche. Je souhaitais en effet solliciter avant tout le cerveau du spectateur plutôt que ses émotions. C'est donc une musique qui empêche de se laisser aller et qui joue sur une certaine brutalité. Je suis particulièrement content des quatre coups définitifs de la fin qui semblent finir, puis qui reprennent etc.

Sans rien dévoiler du dénouement, on peut dire que la magie intervient dans le film de manière très inattendue…

L'idée, c'est que la magie est un trucage qui s'ajoute à ceux de la télévision ou du monde de l'édition… Le salut dans un univers truqué ne peut venir que d'un trucage supplémentaire. Le titre, qui renvoie lui-même à la magie, pourrait être allégorique, alors qu'il n'en est rien… 

 

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LE SCAPHANDRE ET LE PAPILLON (BANDE ANNONCE 2007) avec MATHIEU AMALRIC, ANNE CONSIGNY, EMMANUELLE SEIGNER, MARINA HANDS

Publié le par ERIC-C

LE SCAPHANDRE ET LE PAPILLON
de JULIAN SCHNABEL (BASQUIAT, AVANT LA NUIT)
 avec MATHIEU AMALRIC, ANNE CONSIGNY, EMMANUELLE SEIGNER, MARINA HANDS, MAX VON SYDOW, MARIE-JOSEE CROZE
SYNOPSIS : Le 8 décembre 1995, un accident vasculaire brutal a plongé Jean-Dominique Bauby, journaliste et père de deux enfants, dans un coma profond. Quand il en sortit, toutes ses fonctions motrices étaient détériorées. Atteint de ce que la médecine appelle le "locked-in syndrome", il ne pouvait plus bouger, parler ni même respirer sans assistance.
Dans ce corps inerte, seul un oeil bouge. Cet oeil, devient son lien avec le monde, avec les autres, avec la vie. Il cligne une fois pour dire "oui", deux fois pour dire "non". Avec son oeil, il arrête l'attention de son visiteur sur les lettres de l'alphabet qu'on lui dicte et forme des mots, des phrases, des pages entières...
Avec son oeil, il écrit ce livre, Le Scaphandre et le papillon, dont chaque matin pendant des semaines, il a mémorisé les phrases avant de les dicter...
NOTES DE PRODUCTION : Le film commence comme le livre Une lumière blanche, aveuglante, des couleurs chatoyantes et floues, des visages inconnus nous parlent, lui parle. Jean-Dominique Bauby comprend qu’il est dans une chambre d’hôpital, des machines l’aident à respirer, un homme en tenue de médecin s’approche. Il lui expose la situation sans ménagement. Jean-Dominique Bauby a été victime d’un accident vasculaire cérébral qui l’a plongé dans un coma profond pendant plusieurs jours. Il essaye de répondre, mais personne ne semble l’entendre. Le médecin explique qu’il est atteint d’un trouble extrêmement rare, le « locked-in-syndrome », qui touche le tronc cérébral, partie du corps reliant le cerveau aux terminaisons nerveuses. Comme enfermé à l’intérieur de lui-même, le patient est entièrement paralysé, le corps enserré dans une sorte de scaphandre. Seule fonctionne la paupière gauche, dernière fenêtre sur le monde, mode de communication exclusif. Un battement de paupière pour dire oui, deux pour dire non. Le cerveau est en revanche parfaitement intact. Jean-Dominique Bauby comprend tout, entend tout, se souvient de tout, mais ne peut plus s’exprimer. En dehors de sa paupière gauche, deux éléments fonctionnent encore : l’imaginaire et la mémoire. Le papillon. A partir d’un monologue intérieur fait de révolte et de sagesse, associant l’humour à la tragédie, Jean-Dominique Bauby décide de raconter son histoire. Non sous la forme d’un témoignage, mais d’un livre, d’un roman. Grâce au système de langage élaboré par son orthophoniste, il va concevoir chaque jour les phrases de son récit et les dicter lettre par lettre, clignant de l’oeil sur la lettre de l’alphabet correspondante, dite à voix haute. Un an et 2 mois passés dans la chambre 119 de l’hôpital maritime de Berck, un an et deux mois pour écrire ces « carnets de voyage immobile ». Le Scaphandre et le Papillon paraît aux éditions Robert Laffont en 1997 et connaît un immense succès. Jean-Dominique Bauby mourra quelques jours après la publication. Le livre est traduit dans de nombreux pays et les lecteurs sont bouleversés par cette histoire qui aurait pu nous arriver à tous. Jean-Dominique Bauby était rédacteur en chef d’un grand magazine de mode, le magazine Elle, séducteur, en pleine force de l’âge, il menait plusieurs vies et les réussissait toutes. Il faisait attention à sa santé, à son apparence. L’accident vasculaire cérébral arrive brutalement, de manière injuste, comme une fatalité. Jean-Dominique Bauby y voit d’ailleurs un signe du destin. Il vivait son métier de journaliste avec passion et frénésie et n’a pas su profiter des choses essentielles. Ses enfants. Un sentiment de culpabilité ne le quitte pas. Il était parti de chez lui depuis presqu’un an, laissant sa femme et ses enfants, mais n’a pas eu le temps de commencer une nouvelle vie. Elle s’est arrêtée là, dans cet hôpital aux décors envoûtants. Avant l’accident, il avait signé un contrat d’édition chez Robert Laffont, pour une adaptation moderne et au féminin du Comte de Monte-Cristo. Un tel sacrilège expliquerait la terrible punition. « On ne badine pas avec les chefs-d’oeuvre. » Jean-Dominique Bauby se reconnaît sous les traits de Noirtier de Villefort, figure sombre, dépositaire des plus lourds secrets, condamné au silence, prostré dans sa chaise roulante et ne communiquant qu’avec les yeux. Son livre est un véritable acte littéraire. La puissance de son récit fait de lui un écrivain. L’histoire de Jean-Dominique Bauby ressemble à une vie d’artiste dans cette lutte acharnée contre soi-même et les autres. La maladie, comme la folie ou le génie, est un motif d’exclusion et d’incompréhension. Pour échapper à son sort, aux contraintes extérieures, à la cruauté des hommes, on ne peut compter que sur soi-même. Sur l’intelligence, la créativité et l’héroïsme. Grâce à l’écriture, Jean-Dominique Bauby prolonge sa vie en dehors de lui-même, en dehors de son corps. La puissance du rêve et de la pensée permet de franchir toutes les frontières. Pour accomplir cette transcendance, il avait fait promettre à sa femme d’adapter le livre au cinéma. La singularité et l’authenticité de ce récit, Le Scaphandre et le Papillon, interdit une adaptation classique, commune. La mise en image d’un roman aussi bouleversant nécessite une esthétique forte, un autre regard sur la construction formelle d’un film pour tenter de réinventer et de façonner les exigences de cette histoire où le personnage principal ne parle jamais. Lorsque Kathleen Kennedy, associée aux studios Dreamworks, rachète les droits du livre, elle se concentre sur ce problème d’adaptation. Elle confie l’écriture du scénario à Ronald Harwood (scénariste des deux derniers films de Roman Polanski, Le Pianiste et Oliver Twist) qui parvient, tout en gardant la structure du livre, à rythmer l’histoire entre progression et immobilité. Elle a ensuite l’idée de proposer le film à Julian Schnabel, dont elle pense qu’il est le seul à pouvoir filmer le voyage intérieur de Jean-Dominique Bauby. Julian Schnabel a, quant à lui, découvert le livre dans des conditions très personnelles, par l’intermédiaire d’un ami aujourd’hui disparu. Le dispositif du film l’intéresse tout particulièrement : le public, selon le principe de la voix off, est le seul confident du personnage principal. Personne dans le film ne sait ce qui se passe dans sa tête, mis à part le lecteur ou spectateur. Universal reprend ensuite le projet mais c’est Pathé qui le produira finalement avec Jon Kilik, producteur de tous les films de Julian Schnabel. Celui-ci décide de tourner le film en français, il ne peut selon lui en être autrement. Il choisit d’ailleurs des comédiens français. En 1999, au Festival de San Sebastian, il remarque Mathieu Amalric dans le film Fin août début septembre. Julian Schnabel avait déjà parlé de lui à Kathleen Kennedy lorsqu'elle collabore avec Mathieu Amalric sur Munich de Steven Spielberg. Le reste du casting correspond également à des choix précis. Tous les rôles, sans exception, sont incarnés par des acteurs de renom : Emmanuelle Seigner, Marie-Josée Croze, Anne Consigny, Patrick Chesnais, Niels Arestrup, Olatz Lopez Garmendia, Jean-Pierre Cassel, Marina Hands, Emma De Caunes, Isaach De Bankolé et Max Von Sydow pour les personnages principaux. La photographie est réalisée par Janusz Kaminski, le chef-opérateur de nombreux films de Steven Spielberg. Julian Schnabel accepte de tourner cette histoire non seulement parce qu’elle s’intègre, par le sujet, à sa filmographie, mais aussi parce qu’elle a des résonances personnelles. Il est particulièrement touché par la relation entre Jean-Dominique Bauby et son père. L’enjeu formel est au centre du projet : la première moitié est filmée depuis le point de vue de  Jean-Dominique Bauby. L’image est tantôt floue, tantôt lumineuse, colorée ou aveuglante, décadrée. Julian Schnabel filme comme il peint, au plus près, de la peau, de la pellicule. L’érotisme des plans de bouche, de cuisses, de cou rappelle le détail d’un tableau. Les décors sont presque féeriques dans leur étrangeté, leur volupté. Jean-Dominique Bauby avait baptisé certains lieux de l’hôpital maritime de Berck, Cinecitta. Il aimait le charme poétique et décalé de ces lieux, « géographie imaginaire », studios de cinéma. Véritable parti pris sonore, le monologue intérieur de Jean-Dominique Bauby est restitué sous la forme d’une voix off enregistrée au fur et à mesure du tournage. Nous vivons l’expérience avec lui, en même temps, à sa place. La musique suit l’alternance entre les moments de désarroi et de renaissance. Julian Schnabel estime que Jean-Dominique Bauby a commencé sa vie après l’accident : il prend conscience de celui qu’il est vraiment. Il renaît sous la forme d’un papillon. Première partie, première personne. Avec le système d’énumération de l’alphabet et le clignement de la paupière gauche, Jean-Dominique Bauby peut communiquer avec son entourage. Cette parole est d’abord une écriture. « Mon premier mot est je. Je commence par moi. » Avec ce procédé, il peut sortir de lui-même, s’évader de son scaphandre, émerger hors de l’eau. Visiter le monde, changer le cours du temps, s’adresser au plus grand nombre. En littérature, tout est possible. La deuxième partie est tournée de l’extérieur, la caméra filme Jean-Dominique Bauby, on le découvre dans sa nouvelle vie. L’interprétation de Mathieu Amalric est unique : le jeu est scindé entre la maîtrise d’un corps déformé et l’expression purement orale des émotions. Le drame n’empêche pas l’humour, absurde, nécessaire. Ce film est une leçon de vie, pas au sens moral du terme, mais dans l’énergie qu’il transmet. Il faut savoir profiter de chaque instant, même le plus simple, le plus dérisoire. La création et l’amour permettent de toucher un certain état de conscience. Angie David
 
 
 
« Etais-je aveugle et sourd ou bien fallait-il nécessairement la lumière d’un malheur pour éclairer un homme sous son vrai jour ? », se demande Jean-Dominique Bauby dans son livre,  Le Scaphandre et le Papillon. Il s’adresse à nous autant qu’à lui-même. Faut-il subir un locked-in-syndrom pour éveiller la conscience d’un être humain, pour susciter l’empathie des autres ? Est-il nécessaire de tomber malade pour que les anges apparaissent et nous viennent en aide ? Mon père est mort à l’âge de 92 ans. Il n’a pratiquement pas eu de problèmes de santé et a vécu heureux avec ma mère pendant plus de 60 ans. Beaucoup choisiraient sa vie sans hésiter, mais n’ayant pas connu la maladie, il n’était pas préparé. La mort le terrifiait. Il habitait chez ma femme et moi les derniers jours, mais j’ai échoué à le sauver de cette peur. La vie ne peut se résumer à la souffrance, au désordre sexuel et au néant. Il doit bien y avoir quelque chose. Quand Jean-Dominique Bauby était un membre intelligent et fort de notre société, il n’était finalement rien d’autre qu’un individu conforme à l’exigence de réussite. Avec cette épreuve, le corps entièrement paralysé et sa renaissance en tant qu’oeil – Jean-Dominique Bauby communiquait exclusivement en clignant de la paupière gauche, ce qu’il appelait le point de vue du papillon – il a cherché sa nature profonde et exploré ses paradoxes, accomplissant ainsi un travail qui a eu un effet profond sur tous ceux qui l’ont lu. Il a écrit un livre et est devenu auteur. Jean-Dominique Bauby a compris qu’il n’avait pas su aimer la femme qu’il aurait dû, profiter des joies qui lui étaient offertes. « Aujourd’hui, il me semble que toute mon existence n’aura été qu’un enchaînement de ces menus ratages. Une course dont on connaît le résultat mais où on est incapable de toucher le gagnant. » Regard introspectif sur la vie, possibilité d’une conscience. C’est l’histoire de chacun d’entre nous, confrontés un jour à la maladie et à la mort. Mais il suffit de prêter attention pour trouver ici, sens et beauté à la vie. J’ai voulu que ce film soit un outil, comme son livre, une devise à appliquer pour s’aider soi-même, pour prendre en main sa propre mort. Voilà ce que j’espère, voilà ce que j’ai fait. Julian Schnabel .
  LE SCAPHANDRE ET LE PAPILLON - Un film de Julian Schnabel - D’après l’oeuvre originale de Jean-Dominique Bauby - Le Scaphandre et le Papillon paru aux Editions Robert Laffont en 1997. - Toutefois des libertés ont été prises par le scénario dans l’évocation de certaines personnes de l’entourage de Jean-Dominique Bauby.
JULIAN SCHNABEL est né à Brooklyn, New-York en 1951. A quinze ans, il déménage avec sa famille à Brownsville, Texas. Il va à l’université de Houston et obtient un BFA (licence en arts). Il retourne à New-York en 1973 pour intégrer le Whitney Museum Idependant Study Program. En 1978, Julian Schnabel réalise son premier  plate painting, « The Patients and the Doctors ». Sa première exposition personnelle a lieu en 1979 à la galerie Mary Boone à New-York. Depuis, l’oeuvre de Julian Schnabel a été exposée à travers le monde. Ses peintures, sculptures et dessins ont fait l’objet d’expositions rétrospectives au Centre Georges Pompidou à Paris, au Whitechapel Gallery à Londres, au Tate Gallery à Londres et au Whitney Museum of American Art à New-York. En 1996, il écrit et réalise le film Basquiat sur son camarade l’artiste New-Yorkais Jean-Michel Basquiat. Son deuxième film Avant la nuit (Before Night Falls) remporte le Grand Prix du Jury au Festival de Venise en 2000 et offre à Javier Bardem une nomination aux Oscars comme meilleur acteur. En 2004, une rétrospective des peintures de Schnabel a lieu au Schirn Kunstalle à Francfort, au Palacio Velazquez à Madrid et à la Mostra d’Oltremare à Naples. Cet été, les expositions de ses peintures et sculptures ont lieu au Palazzo Venezia à Rome, au Schloss Derneburg à Derneburg, à la Rontonda della Besana à Milan, et au Tabacalera à San Sebastian. Schnabel vit avec sa femme Olatz et leur famille à New-York, Montauk (Long Island) et San Sebastian.
LES PRODUCTEURS
KATHLEEN KENNEDY - Les états de service de Kathleen Kennedy font d’elle l’une des productrices les plus en vue de l’industrie cinématographique actuelle. Parmi les films qu’elle a produits, on compte trois des longs métrages qui ont rapporté le plus d’argent dans l’histoire du cinéma :  E.T. l’extraterrestre, Jurassic Park et Le Sixième sens. Kathleen Kennedy est actuellement à la tête de la société Kennedy/Marshall, qu’elle a fondée en 1992 avec le réalisateur/producteur Frank Marshall. Sous cette égide, elle a produit Congo, L’Indien du placard, La Neige tombait sur les cèdres, Une Carte du monde, Le Sixième sens et Pur Sang, la légende de Seabiscuit. Kathleen Kennedy a entamé dans les années soixante-dix une collaboration fructueuse avec Steven Spielberg, qui a donné naissance à la trilogie Indiana Jones, à la trilogie Retour vers le Futur, à La Couleur pourpre et à L’Empire du soleil, pour ne citer que quelques films. Kathleen Kennedy était la productrice de La Liste de Schindler de Spielberg mais aussi de Sur la Route de Madison, réalisé par Clint Eastwood, du film d’action Twister réalisé par Jan De Bont, et de trois autres films de Spielberg : A.I. Intelligence artificielle, La Guerre des mondes, et Munich, applaudi par la critique. La société Kennedy/Marshall assure actuellement la production du film de Paul Greengrass La Vengeance dans la peau, du film de Mark Waters Les Chroniques de Spiderwick, tiré de la célèbre série de livres pour enfants, du dernier David Fincher, L’Étrange histoire de Benjamin Button, du film de Wayne Kramer, Crossing Over, et du quatrième épisode de la série des Indiana Jones. Paralèllement au film Le Scaphandre et le papillon, elle vient aussi d'achever la version anglaise du film d'animmtion Persepolis, tiré de la bande dessinée autobiographique de Marjane Satrapi, qui raconte le quotidien d’une jeune fille pendant la révolution iranienne. Kathleen Kennedy est membre du comité exécutif de l’Academy Of Motion Pictures (Section Production) et du conseil d’administration de cette même Académie. Elle vient de terminer son mandat au poste de présidente des Producteurs de la Guild of America, qui lui a accordé en 2006 sa plus haute distinction honorifique, le Charles FitzSimons Service Award.
JON KILIK a récemment produit  Babel d’Alejandro González Iñárritu, avec Brad Pitt, Cate Blanchett, Gael García Bernal et Kôji Yakusho. Babel a remporté le Golden Globe du meilleur film, dans la catégorie drame, et a été nommé aux Oscar dans 7 catégories, dont celle du meilleur film. Jon Kilik est l’un des plus importants producteurs indépendants aux Etats-Unis, il a travaillé avec de nombreux réalisateurs de films d’auteur. Il a été le producteur de 12 des films de Spike Lee. Leur collaboration remonte à Do the Right Thing. Parmi les films marquants sur lesquels ils ont travaillé ensemble, on compte Inside Man, Malcolm X, Clockers, He Got Game et La 25e heure. Jon Kilik a produit deux films réalisés par Tim Robbins : Dead Man Walking, - qui a valu l’Oscar de la meilleure actrice à Susan Sarandon - et l’ambitieuse plongée dans le monde du théâtre new-yorkais des années trente, Cradle will Rock. Il a également produit les deux films réalisés par Julian Schnabel avant Le Scaphandre et le papillon : Basquiat, avec Jeffrey Wright dans le rôle de l’artiste Jean-Michel Basquiat, et Avant la nuit (Before Night Falls), qui a valu à Javier Bardem une nomination aux Oscar dans la catégorie meilleur acteur. Kilik est aussi le producteur de A Bronx Tale de Robert de Niro, Pleasantville de Gary Ross, couronné de nombreux prix, Pollock d’Ed Harris, récompensé aux Oscars, Skins de Chris Eyre, Alexandre d’Oliver Stone, et Broken Flowers de Jim Jarmush qui a remporté le Grand Prix du Jury à Cannes.
 
CESAR MEILLEUR ACTEUR 2008  POUR MATHIEU AMALRIC
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 (BANDE ANNONCE 2007)


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DERIVE MORTELLE (Open Water 2 : Adrift) avec Susan MAY PRATT, Richard SPEIGHT Jr., Niklaus LANGE

Publié le

DERIVE MORTELLE (Open Water 2 : Adrift) (2006)

Film allemand de Hans HORN

avec Susan MAY PRATT - Richard SPEIGHT Jr. - Niklaus LANGE - Eric DANE - Alexandra RAACH - Volfgang RAACH

Dérive mortelle 

L'HISTOIRE :

Un groupe d'anciens camarades de lycée se retrouve en croisière pour un week-end festif à bord d'un somptueux yacht. La chaleur et le champagne aidant, ils décident de piquer une tête pour se rafraîchir. Mais ils ont oublié de déplier l'échelle et il leur est donc impossible de remonter à bord. Le courant les éloigne et pire encore, la jeune maman de la bande, Amy, a laissé son bébé seul sur le bateau ! Alors que la fatigue et la panique gagnent le groupe, le week-end de rêve vire définitivement au cauchemar...

Dérive mortelle

Dérive mortelle

Dérive mortelle

NOTES DE PRODUCTION

Après avoir développé plusieurs projets de longs métrages pendant cinq ans à Hollywood, le réalisateur de publicités Hans Horn, très réputé dans son domaine, décide de revenir en Allemagne en 2004. Déçu par plusieurs projets qui n'aboutissaient pas, Horn était à la recherche d'un concept susceptible de lui garantir un succès commercial. Ce sera DERIVE MORTELLE, la redoutable histoire vraie d'un groupe de copains partis en croisière à bord d'un yacht… Après avoir plongé dans la mer pour se rafraîchir, ils constatent qu'ils ont oublié de déplier l'échelle leur permettant de remonter à bord. Perdus au milieu de l'océan, ils sont tous morts d'épuisement les uns après les autres. Le pire, c'est que de tels événements sont assez fréquents dans les annales de l'histoire maritime. Le succès phénoménal d'OPEN WATER EN EAUX PROFONDES a encouragé Horn à s'engager plus avant dans son propre thriller aquatique : "Quand on voit qu'un film qui retrace le calvaire d'un couple perdu au milieu d'un océan infesté de requins est plébiscité par le public, je me suis dit que mon film avait toutes ses chances d'être un succès," affirme Horn. Son intuition lui donna raison. Mais il préféra cette fois faire part de son idée à son ami et producteur Dan Maag. A la recherche d'un projet commun depuis longtemps, les deux hommes trouvent l'occasion de collaborer ensemble avec DERIVE MORTELLE. Quelques semaines plus tard, les scénaristes Dave Mitchell et Adam Kreutner commencent à travailler à l'écriture du scénario – dont le titre est encore GODSPEED. Mitchell et Kreutner avaient déjà collaboré sur DEADFISH, comédie d'humour noir avec Gary Oldman, Robert Carlyle, et Billy Zane. Le réalisateur et son producteur obtiennent un financement du Film Fernseh Fonds Bayern et du distributeur et coproducteur allemand Universum Film. Thomas Häberle (Shotgun Pictures) et Peter Rommel (Peter Rommel Productions) comptent également parmi les partenaires financiers. Bien que le film soit censé se passer au Mexique, le tournage s'est déroulé à Malte, dont le littoral présente plusieurs ressemblances géographiques avec le Mexique. Si la production a choisi Malte, c'est aussi en raison du dispositif exceptionnel de citernes d'eau de l'île qui a été spécialement adapté pour les besoins du film. L'essentiel de DERIVE MORTELLE a été tourné dans l'un des plus grands réservoirs d'eau extérieurs du monde. Le choix du yacht s'est avéré particulièrement difficile. Il s'agissait de trouver un bateau aux bonnes dimensions et à la forme adéquate, et il était hors de question que l'embarcation soit équipée d'une échelle extérieure pré-installée. En fin de compte, la production trouva le yacht idéal, mais il fallut encore convaincre le propriétaire qui se montra réticent à l'idée de prêter son précieux bateau à une équipe de film. Dans la grande tradition du thriller, DERIVE MORTELLE parle de nos peurs primitives qui sont universelles. D'emblée, il semblait donc évident que le film devait être tourné en anglais et destiné à un large marché international. Avec cet objectif en tête, la production a fait appel à de jeunes comédiens américains prometteurs pour interpréter la bande de malheureux copains. Le tournage s'est avéré épuisant pour les acteurs qui ont dû passer jusqu'à six heures par jour immergés dans l'eau. Le film témoigne des efforts considérables déployés par les comédiens et les techniciens. Comme l'indique Dan Maag, "Nous avions tous évolué à peu près de la même façon – dans le sens où nous avons tous eu des réalisations professionnelles –, mais nous souhaitions aller plus loin. Nous étions tous conscients que ce film marquait un vrai tournant." 

Dérive mortelle

NOTE D'INTENTION DU REALISATEUR

C'est ma femme, Tina, qui a été la première à me raconter le fait divers à l'origine de DERIVE MORTELLE. J'étais halluciné à quel point le sort s'était acharné sur cette bande de six copains. J'ai essayé de m'imaginer à leur place. Et si c'étaient Tina et moi qui avions été tout seuls au milieu de l'océan sans pouvoir remonter à bord du bateau ? Qu'est-ce qu'on aurait fait ? Comment aurait-on survécu ? Sans espoir d'être secourus, est-ce qu'on serait morts ? Ce scénario cauchemardesque a réveillé une peur primitive en moi. Le fait d'explorer mes peurs primitives et de m'y confronter me fascine. Autant dire que j'ai été d'emblée captivé par cette histoire. De même, la simplicité de l'intrigue m'a intéressé. J'ai aussitôt envisagé d'en tirer un film. Au départ, je me suis dit que l'intrigue était si fédératrice que j'allais trouver des financements sans problème. J'ai tâché de convaincre mon agent à Los Angeles que DERIVE MORTELLE pourrait s'avérer un thriller génial. Mais cela s'est révélé difficile. Tout le monde a aimé l'intrigue, tout en pensant qu'elle était trop ténue pour un long métrage d'une heure trente. Trois semaines plus tard, j'ai vu la bande-annonce d'OPEN WATER EN EAUX PROFONDES au Festival du Film Fantastique de Munich. J'ai été sous le choc : deux plongeurs, perdus au milieu de l'océan, finissent dévorés par des requins, et le Tout-Hollywood s'est pâmé devant le film. Cette bande-annonce n'a fait que me renforcer dans l'idée que je devais réaliser mon film. Totalement survolté, j'ai quitté la salle et aussitôt fixé rendez-vous à mon producteur Dan Maag pendant un barbecue avec nos enfants. Je lui ai raconté mon projet. Une dizaine de jours plus tard, je me suis retrouvé à Hollywood où j'ai rencontré le scénariste Adam Kreutner qui avait déjà travaillé avec Dan Maag. Nous avons commencé à écrire le scénario qui allait devenir DERIVE MORTELLE. Après quatre mois de travail seulement, nous avons terminé le découpage technique. Nous avons obtenu le financement du film au même moment. Neuf mois après avoir entendu parler de ce fait divers pour la première fois, nous avons commencé les repérages à Malte. Trois mois plus tard, nous avons terminé le tournage. Et à peine un an et demi après le début de cette aventure, DERIVE MORTELLE était vendu à des distributeurs du monde entier. La raison essentielle du succès tient à la simplicité de l'intrigue et à l'universalité des peurs primitives qu'il suscite. Ce sont ces deux éléments qui m'ont servi à définir le style visuel du film. En raison de contraintes financières, j'ai d'abord envisagé de tourner le film en vidéo, mais grâce à une rallonge budgétaire obtenue par mes producteurs, j'ai pu réaliser mon rêve : tourner DERIVE MORTELLE en 16 mm en utilisant des objectifs Cinémascope anamorphiques. Grâce à cela, on a pu mettre la barre beaucoup plus haut. J'étais désormais en mesure de donner libre cours à mon imagination sur mon support favori : la pellicule. A cet égard, j'ai été formidablement secondé par le jeune chef-opérateur Bernhard Jasper. Notre collaboration a été idéale car Bernhard est un perfectionniste absolu dont le goût de l'expérimentation a donné à l'ensemble une dimension nouvelle. Dès nos premières rencontres, il est apparu évident que nous allions devoir tourner "en immersion totale." Nous nous sommes demandés comment mettre en scène un concept aussi simple de la manière la plus pertinente et la plus captivante. Nous avons d'abord résolu de créer plusieurs effets lors de la prise de vue. En outre, le format large du Cinémascope allait agrandir le cadre pour nous permettre de capter l'immensité de l'océan et nous mettre dans la peau des personnages qui ont le sentiment d'être engloutis. De même, le grain de la pellicule 16 mm était pour moi un atout car cela donnait au film un style réaliste qui rehaussait formidablement la dimension psychologique de l'ensemble. Dans certaines scènes, nous avons même accentué le grain pour obtenir un réalisme plus grand encore. Dans les séquences de pure action, nous avons joué avec l'obturateur et multiplié les décadrages pour décupler l'impact émotionnel. Si j'ai évité tout effet de style gratuit, j'ai décidé que chaque scène majeure serait caractérisée par un style de cadrage qui lui soit propre. Il s'agissait également de préparer les comédiens à la tension psychologique et physique qu'ils allaient endurer. Dès le départ, j'ai décidé de tourner le film dans la continuité autant que faire se peut. Il fallait que le film soit le plus authentique possible. En tournant dans la continuité, j'espérais qu'au fur et à mesure du tournage, la tension et la fatigue croissantes chez les comédiens imprégneraient leurs personnages. Heureusement, cette stratégie s'est avérée payante. Et malgré le stress occasionné par ce tournage, nous avons pris un vrai plaisir à travailler tous ensemble. 

Dérive mortelle

STYLE VISUEL ET EFFETS DE PRISE DE VUE

Le réalisateur souhaitait créer un style visuel qui plonge le spectateur dans l'histoire et fasse de lui le septième personnage perdu au milieu de l'océan… Dans ce but, la production opta pour une mise en scène nerveuse et dynamique. La plupart des séquences ont été tournées caméra à l'épaule pour installer un rapport immédiat avec les personnages. Etant donné que 80% du film se déroule dans l'eau, comment manier la caméra dans un tel environnement ? Après plusieurs essais, l'équipe décida d'enfermer la caméra dans un étui imperméable et de la fixer à deux planches de surf. C'est ainsi que les cadreurs pouvaient utiliser les vagues pour donner du mouvement à la prise de vue ou, au contraire, stabiliser l'image en neutralisant la vague avec des poids supplémentaires. Afin de donner au spectateur la sensation de se noyer, l'équipe plongeait parfois la caméra dans l'eau. Il a ensuite fallu choisir le format de pellicule. Pour des raisons financières, DERIVE MORTELLE a été tourné en 16 mm, plutôt qu'en 35 mm. Pour autant, l'ampleur des paysages maritimes imposait un format grand écran 1:2.35. Des objectifs Cinémascope 35 mm ont donc été installés sur une caméra 16 mm. Ce dispositif s'est avéré concluant : plusieurs scènes ont ainsi été tournées en plans-séquences sans raccord grâce au format Cinémascope. Le spectateur est ainsi libre de choisir ce sur quoi il souhaite fixer son attention. Ce point de vue subjectif fait de lui un personnage à part entière, perdu au milieu de l'océan. D'autres techniques propres au cinéma d'action et au film d'horreur ont été utilisées. Par exemple, s'agissant de la scène où Amy plonge dans l'eau, l'équipe technique a tourné des prises de vue à 6 images par seconde (au lieu des 24 images/secondes habituelles). Résultat : à l'exception d'Amy, parfaitement immobile, les autres personnages apparaissent flous. Du coup, le spectateur épouse le point de vue de la jeune femme, sans pouvoir savoir ce qui se passe autour d'elle : l'angoisse en est démultipliée. Pendant la post-production, le film a été transféré sur support numérique pour harmoniser les différents styles visuels et corriger les contrastes chromatiques liés au tournage en extérieurs. C'est ainsi qu'à Malte, l'eau de la mer apparaissait bleue le matin, verte à la mi-journée et bleu clair le soir : la palette numérique a permis de "lisser" ces différentes tonalités. En revanche, la plupart des effets visuels ont été obtenus en prise de vue, et non en infographie. Cette approche donne au film une dimension plus réaliste.

Dérive mortelle

 

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MOTEL - VACANCY avec Kate Beckinsale, Luke Wilson, Frank Whaley

Publié le

MOTEL - VACANCY (2007)

de Nimrod ANTAL

avec Kate BECKINSALE - Luke WILSON - Frank WHALEY

L'HISTOIRE : 

Un couple de jeunes mariés se retrouve coincé dans un motel isolé et découvre des caméras cachées dans leur chambre. Ils réalisent vite qu'à moins de s'échapper, ils seront les prochains acteurs d'un snuff movie.

Kate Beckinsale et Luke Wilson. Gaumont Columbia Tristar Films

Luke Wilson et Kate Beckinsale. Gaumont Columbia Tristar Films

 

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LES 4 FANTASTIQUES ET LE SURFEUR D'ARGENT (BANDE ANNONCE VF 2007) avec Jessica ALBA - Chris EVANS

Publié le par ERIC-C

LES 4 FANTASTIQUES ET LE SURFEUR D'ARGENT

de Tim STORY (LES 4 FANTASTIQUES - BABERSHOP - NEW YORK TAXI)

avec Jessica ALBA - Chris EVANS - Michael CHIKLIS - Ioan GRUFFUDD

L'HISTOIRE : Alors que le mariage de Mr Fantastic et de la Femme Invisible s'annonce comme l'événement de l'année, un mystérieux Surfer d'Argent surgit de l'espace et provoque d'étranges phénomènes sur la Terre.
Rapidement, les 4 Fantastiques vont découvrir le dessein secret de cet être aux pouvoirs surprenants et la menace qu'il fait peser sur notre planète, mais ils vont aussi voir ressurgir leur ennemi juré...
Face au danger, amis et ennemis vont devoir unir leurs forces comme jamais...

Les 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent - Affiche teaser américaine

Les 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent - Affiche teaser américaine

Les 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent - Affiche teaser américaine

Les 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent - Affiche teaser américaine

Les 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent - Doug Jones

Les 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent - Doug Jones

 

Les 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent

Les 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent

Les 4 Fantastiques et le Surfer d'Argent - Chris Evans, Ioan Gruffudd, Jessica Alba et Michael Chiklis

RESUME DE LA PREMIERE AVENTURE DES 4 FANTASTIQUES :

 LES 4 FANTASTIQUES DE TIM STORY (2005) avec Jessica ALBA - Chris EVANS - Michael CHIKLIS - Ioan GRUFFUDD

L'HISTOIRE : Reed Richards s'apprête à explorer le coeur du cosmos pour percer les mystères de nos origines. A ses côtés : l'astronaute Ben Grimm, son ex-compagne Sue Storm et le pilote casse-cou Jimmy Storm.
Au cours de leur mission, la station spatiale s'engouffre dans un nuage de particules radioactives. Les codes génétiques des quatre astronautes en sont altérés à jamais...

 

LES 4 FANTASTIQUES ET LE SURFEUR D'ARGENT (BANDE ANNONCE VF 2007) avec Jessica ALBA - Chris EVANS

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28 SEMAINES PLUS TARD (28 WEEKS LATER) avec Robert CARLYLE, Rose BYRNE, Catherine McCORMACK

Publié le

28 WEEKS LATER - 28 SEMAINES PLUS TARD (2007)

de Juan Carlos FRESNADILLO (INTACTO)

avec Robert CARLYLE - Rose BYRNE - Catherine McCORMACK

L'HISTOIRE :

 Six semaines après l'épidémie qui a ravagé la Grande-Bretagne, les Forces Spéciales américaines débarquent en Angleterre pour aider les survivants, veiller au retour de l'ordre et à la renaissance de Londres. C'est alors que le virus refait surface, plus dangereux que jamais...

 

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PLANETE TERREUR (BANDE ANNONCE VO 2007) de Robert RODRIGUEZ (Grind House: Planet Terror)

Publié le par ERIC-C

PLANETE TERREUR - UN FILM GRINDHOUSE

Film d'épouvante américain de Robert RODRIGUEZ

avec Rose McGOWAN - Freddy RODRIGUEZ - Josh BROLIN

Planète terreur - un film Grindhouse

L'HISTOIRE : 
Dans une petite ville, William et Dakota Block, un couple de médecins, constatent que leurs patients sont soudain frappés par la gangrène et affectés par un regard vide et inquiétant...
De son côté, Cherry, go-go danseuse, s'est fait arracher la jambe lors d'une attaque. Wray, son ex-petit copain, veille sur elle. Mais Cherry a beau être au plus mal, elle n'a pas dit son dernier mot.
Tandis que les malades se multiplient et deviennent des agresseurs enragés, Cherry et Wray prennent la tête d'une armée destinée à empêcher l'épidémie de se propager. Si des millions d'individus sont contaminés et beaucoup succombent, une poignée d'entre eux se battront
jusqu'au bout pour se réfugier dans un lieu sûr...

Planète terreur - un film Grindhouse - Rose McGowan

NOTES DE PRODUCTION

Quand, il y a déjà plusieurs années, Robert Rodriguez griffonna quelques notes qui allaient donner naissance au scénario de PLANETE TERREUR, il se disait qu'il ressuscitait un genre délaissé. “Personne n'avait réalisé de film de zombie depuis très longtemps,” explique le réalisateur.

Fan de cinéma d'horreur, ce metteur en scène visionnaire souhaitait écrire un scénario qui se distingue des films du genre et qui prenne le spectateur par surprise. Bien plus, il voulait réaliser un film de zombie au rythme trépidant et qui repose sur la psychologie des personnages. Il continua à développer ses idées, mais il fut freiné par son manque d'inspiration, avant d'être appelé sur d'autres projets. Greg Nicotero, ami et collaborateur de longue date de Rodriguez, livre son point de vue sur la longue gestation du projet : “Je me souviens qu'à l'époque de SPY KIDS, et déjà à celle de THE FACULTY, Robert souhaitait tourner un film de zombie. Sans avoir une idée très précise du scénario, il envisageait un couple de médecins travaillant à l'hôpital et, d'autre part, une fille sur une route où, à chaque fois qu'une voiture passait, les zombies l'encerclaient de plus en plus près.” Rodriguez remit à Nicotero les trente premières pages du scénario qui comportait déjà quelques scènes d'action musclées. “Après l'avoir lu, je lui ai demandé s'il savait comment l'histoire se poursuivait.” “Il m'a répondu, ‘Je n'en ai aucune idée’.” “Je n'ai jamais pu aller plus loin que ces trente pages," avoue Rodriguez, “et c'est alors, comme un fait exprès, que les films de zombie ont commencé à envahir les écrans.” La sortie de 21 DAYS LATER, L'ARMEE DES MORTS, LAND OF THE DEAD et SHAUN OF THE DEAD ranime l'intérêt des spectateurs pour ces monstres avides de chair humaine, en offrant un point de vue inédit sur la condition des morts-vivants. Loin de décourager Rodriguez, ces films le poussent à écrire un scénario plus inventif encore. Avec la trilogie SPY KIDS et SIN CITY, le réalisateur a prouvé qu'il savait créer un univers fantastique défiant les attentes du public. Quand il s'attelle de nouveau à PLANETE TERREUR, Rodriguez souhaite donner à son scénario “un ton différents des autres films. Cela tient beaucoup aux personnages.” Parmi les habitants de la petite ville du Texas où il situe l'action, figurent notamment un patron de resto obsédé par le barbecue, un shérif aussi stoïque que louche, une go-go danseuse avec une mitraillette en guise de jambe de bois qui prend la tête d'un groupe de résistants, une femme médecin au poignet désarticulé fuyant son mari violent tout en brandissant une seringue, un mystérieux héros chevauchant une minuscule moto et deux jumeaux psychotiques qui font du baby-sitting. Dans PLANETE TERREUR, la vraisemblance n'a plus cours. Comme dans SIN CITY, les intrigues s'entrecroisent et atteignent une dimension absurde quasi fantastique. Si Rodriguez tient à raconter une histoire inédite, PLANETE TERREUR s'inspire malgré tout de chefs d'oeuvre du septième art. Les dialogues entre Wray et Cherry font écho au film noir, tandis que le climat de paranoïa et les références à l'espionnage renvoient à des films comme L'INVASION DES PROFANATEURS DE SEPULTURE, EN QUATRIEME VITESSE et d'autres oeuvres-clés de l'époque maccarthyste. Nicotero reçoit le scénario sans savoir que Rodriguez est reparti de son ancien projet : “J'ai reçu ce scénario, je me suis mis à le lire, et je me suis dit, ‘tiens, il y a un médecin et sa femme,’ et puis je suis arrivé à la scène où Tammy est sur la route et je me suis dit ‘j'ai déjà lu ça quelque part.’” “On pourrait penser que dans un film de zombie, les personnages passent leur temps à fuir les morts-vivants,” plaisante Michael Biehn qui campe Hague.  “Mais les personnages sont très bien écrits, et leurs relations particulièrement fortes. Je crois que c'est la clé de la réussite de ce film.” Rose McGowan, qui interprète Cherry, a été frappée par l'humour et les dialogues du scénario. Elle se dit également fascinée par l'idée du personnage à la mitraillette en guise de jambe de bois (cette image est déjà devenue culte auprès des fans de Rodriguez qui l'ont découverte sur une affiche dévoilée au Comic-Con en juin 2006). “Je lui ai demandé, ‘comment as-tu eu une idée pareille ?’ et il m'a répondu ‘eh bien, j'étais coincé dans les embouteillages…’ et c'est tout ! Je me retrouve moi aussi coincée dans les bouchons et je ne pense pas à des jambes de bois/mitraillettes !” Pour réunir les comédiens du film, Rodriguez s'est à la fois tourné vers sa famille, ses amis et collaborateurs les plus fidèles tout en faisant appel à certains interprètes de ses films et émissions de télé préférés. C'est ainsi que Marley Shelton, Bruce Willis et Quentin Tarantino ont déjà collaboré avec lui. D'autres visages, connus des amateurs du genre, ont rejoint le casting : Naveen Andrews de la série Lost, Rose McGowan de Charmed, Michael Biehn, à l'affiche d'ALIENS, ABYSS et TERMINATOR, et Jeff Fahey, interprète du COBAYE et de BODY PARTS. Tom Savini, qui a donné ses lettres de noblesse au maquillage du cinéma d'horreur, campe le shérif adjoint Tolo.  Rebel Rodriguez, fils du cinéaste, incarne Tony, et Elise et Electra Avellan, nièces du réalisateur, font leurs débuts dans le rôle des Babysitter Twins. Après ses rôles mémorables dans SCREAM et THE DOOM GENERATION, et son interprétation de Paige dans la série Charmed, elle s'engage dans un périple émotionnel étourdissant dans PLANETE TERREUR : “C'est une nomade, en un sens, et elle n'a pas vraiment eu de chance dans la vie. Elle ne va pas bien, et se sent franchement déprimée.” Au désarroi de Cherry s'ajoute une terrible dispute avec Wray, son ex, qu'interprète Freddy Rodriguez. Mais ce n'est pas la fin de son cauchemar : elle se fait arracher sa jambe – qui lui était fort précieuse jusque-là – au cours d'une attaque sur le bord de la route. C'est alors que tout commence. “PLANETE TERREUR nous entraîne dans une folle embardée", précise la comédienne. “Je ne sais pas vraiment comment décrire ce film. Cherry est d'abord une fille ordinaire, qui ne va pas fort, et tout d'un coup elle se retrouve à devoir sauver la planète.” Pendant l'essentiel du tournage, l'actrice a fait des allers-retours entre Austin et Los Angeles, où elle tournait la dernière saison de Charmed. Une fois la série en boîte, elle a pu se consacrer entièrement aux mésaventures de Cherry. Aux côtés de McGowan, Freddy Rodriguez est un comédien très recherché depuis sa prestation, citée à l'Emmy, dans la saison Six Feet Under. Avec PLANETE TERREUR, il fait ses débuts dans un film de science-fiction ou d'action. Il incarne Wray, un personnage de solitaire endurci dont l'identité reste auréolée de mystère. “Wray est un personnage énigmatique,” déclare l'acteur. “Le film se déroule au Texas. Si on s'en tient à son style et à sa manière de s'exprimer et de se comporter, Wray n'est clairement pas de la région. On ne sait pas vraiment qui il est, ni d'où il vient. C'est un solitaire. Progressivement, on découvre d'autres facettes du personnage et on apprend à mieux le connaître.” McGowan était ravie de faire équipe avec lui : “Freddy a formidablement compris son personnage. Il est extrêmement concentré,” dit-elle. “Il en fait un personnage ‘cool’, à la démarche fière.”  Marley Shelton, qui donne la réplique à Josh Hartnett dans SIN CITY, incarne le docteur Dakota Block : “J'interprète une anesthésiste qui s'entend très mal avec son mari,” explique-t-elle. “Son mariage bat de l'aile, c'est un mariage qui repose sur l'équilibre de la terreur. Lorsque le film démarre, mon personnage est sur le point de quitter son mari.” Comme Cherry, Dakota est prête à aller loin pour reprendre sa vie en main. Elle doit également relever plusieurs défis d'ordre physique : “Ce qui est vraiment  incroyable, c'est que pendant la première moitié du film, je n'ai pas le contrôle de mes mains. Ce qui est drôle, c'est que je peux tout de même bouger mes poignets de manière étrange. Je me suis beaucoup amusée à jouer sur la frustration du personnage. C'est un médecin qui devient maladroite. Elle, qui a toujours été efficace et témoigné d'une grande maîtrise, est soudain déchaînée. Elle ne parvient plus ni à se protéger, ni à protéger son fils, et elle ne peut plus prendre la fuite.” (Elle ne peut non seulement plus prendre la fuite, mais elle n'arrive même plus à mettre une clé dans une serrure. Elle se casse une dent dès les premières minutes du film. La comédienne a dû s'habituer à ce que les techniciens aient le regard braqué sur sa dent noircie pendant les discussions sur le plateau.) Shelton a également donné à son personnage l'humanité qu'il méritait : “Plus il lui arrive des choses abominables, plus elle devient déchaînée, et plus elle tente de se reconstruire et de rétablir des liens avec son père et son fils.” Shelton adore la dimension démoniaque de son personnage : “Elle a des aiguilles hypodermiques accrochées à son porte-jarretelles. Dès qu'elle retrouve le contrôle de ses mains, elle arrive à se protéger du violeur qu'incarne Quentin Tarantino,” poursuit-elle. “Il ne lui arrive que des choses épouvantables, elle doit prendre la fuite, mais elle tient enfin sa revanche lorsqu'elle tire avec son revolveraiguille, puis qu'elle le fait tournoyer comme dans les vieux westerns, à la manière de son père Quick Draw Earl McGraw.” Les fans de Tarantino et de Rodriguez se souviennent d'Earl McGraw, interprété par Michael Parks, qui était à l'affiche d'UNE NUIT EN ENFER et KILL BILL et fait une apparition dans BOULEVARD DE LA MORT. Dakota Block fait désormais partie de la mythologie Rodriguez-Tarantino, et la comédienne a pris son rôle très au sérieux. “La scène de la seringue prouve qu'Earl a bien éduqué sa fille. Elle a du cran. Elle sait faire tournoyer un revolver, et elle a sans doute appris à le faire quand elle avait six ans. J'ai eu très peur de ce maniement du revolver. Il m'a fallu des mois pour apprendre à le faire, et bien entendu, Robert me montre beaucoup plus à l'aise que je ne le suis vraiment.” Josh Brolin joue le docteur William Block, l'époux suspect de Dakota. Il a plusieurs scènes avec Shelton qui l'a trouvé incroyablement séduisant : “Nos personnages se détestent : ils se battent et tentent de s'entretuer. Mais Josh est le plus généreux des hommes. Il est drôle et charismatique. Entre les prises, nous nous amusions comme des fou" La comédienne a également apprécié la capacité du comédien à s'approprier son rôle et à le rendre aussi “crédible” que possible : “Il a pris une douzaine de kilos pour son personnage. Il joue un Texan à la mine sombre qui trimballe une bedaine, un type déjanté et amer, mais aussi un vrai macho. Il a un talent fou, et il a réussi à rendre son personnage à la fois drôle et inquiétant.” Brolin connaît Rodriguez depuis longtemps, et le rôle de Block a été écrit tout spécialement pour lui. Il ne connaissait pas bien le projet, ce qui explique qu'il a été ravi en découvrant le scénario : “Il faudrait vraiment faire le difficile pour ne pas participer à une aventure aussi drôle et captivante,” déclare-t-il. Le personnage était d'abord secondaire, puis a pris de l'épaisseur au cours d'une rencontre entre Rodriguez et Brolin. “Il portait la barbe, et je me suis inspiré de lui pour le personnage,” explique Rodriguez. “On ne sait pas qu'il est le ‘méchant’ jusqu'à ce qu'il montre les dents. On s'identifie à lui avant qu'on ne comprenne qu'il est fou. C'est avant qu'il ne devienne zombie. Mais il était fou et dangereux avant même d'être contaminé. Il allait forcément être plus dangereux que les autres puisqu'il était déjà fou et jaloux à l'origine, et qu'il s'en prenait à sa femme qui le trompait.” Michael Biehn interprète le shérif Hague qui doit se rallier à Wray pour combattre les zombies. Avec près de trente ans de carrière à son actif, Biehn a combattu plusieurs forces du mal dans des films comme TERMINATOR, ALIENS ou ABYSS. S'il a aimé jouer le courageux et stoïque Hague, il a surtout apprécié la présence de son fils de 14 ans sur le plateau : "Quand il venait me rendre visite, il voulait systématiquement voir les zombies et les explosions. Il me demandait : ‘papa, estce qu'on va tirer sur les zombies ce soir ? Est-ce qu'on va en tuer ? Qui va se faire asperger de sang ?’” Comme avec Brolin, le personnage de Hague a été conçu spécialement pour Biehn. “Son personnage n'était pas vraiment abouti,” précise le réalisateur, “et quand je l'ai rencontré et que je lui ai offert le rôle, j'ai alors étoffé son personnage en fonction de sa personnalité. Il en va de même avec Quentin et Zoë. Quand on connaît quelqu'un, on peut alors tailler un rôle sur mesure.” Jeff Fahey interprète JT, frère de Hague, qui “est l'heureux propriétaire du meilleur resto de barbecue du Texas ! Il est là, à tenter de mettre au point la meilleure recette de barbecue, quand l'enfer se déchaîne autour de lui,” déclare Fahey. “Ce que je trouve formidable chez ce personnage, c'est qu'au beau milieu de ce chaos et de cette folie, il ne pense qu'à une chose : réussir la sauce barbecue !” Stacy Ferguson, alias “Fergie” (de son nom d'artiste au sein du groupe Black Eyed Peas), campe Tammy qui connaît une fin funeste lorsque le moteur de sa Volvo se trouve en surchauffe sur la mauvaise route… Elle a joué le rôle, alors même qu'elle était en tournée mondiale et qu'elle enregistrait un album. Elle a d'ailleurs dû adapter son emploi du temps pour être libre au moment du tournage : elle s'est rendue précipitamment à Lulling (Texas) pour les besoins d'une scène avec Jeff Fahey, après s'être produite sur scène avec les Black Eyed Peas devant une salle comble à Dallas. Avec PLANETE TERREUR, l'actrice campe son troisième rôle pour le cinéma, réalisant un étonnant triplé : “J'ai tourné un film d'horreur quand j'étais petite, qui s'appelait MONSTER IN THE CLOSET. Mon personnage mourait dans ce film. Je meurs également dans mon deuxième film, POSEIDON, et je meurs encore dans celui-ci. C'est un signe du destin…Ferguson a immédiatement séduit Felix Sabates, aussitôt baptisé “Papa le plus Sympa du Monde” lorsqu'il lui présenta ses filles. “Fergie est géniale. Mes filles étaient sur le plateau, et elle les a emmenées dans les loges. Elle s'est montrée adorable avec mes filles. Et quand on est sympa avec elles, on fait partie de la famille !,” s'enthousiasme Sabates. Ce dernier correspondait parfaitement à son personnage, bien qu'il ne soit pas comédien professionnel– puisqu'il est ophtalmologue à Kansas City et médecin aux Urgences de Houston. Il supervise également des opérations chirurgicales. Après avoir fait une apparition dans SPY KIDS 2 : ESPIONS EN HERBE, il a volontiers accepté de camper son propre personnage. “Je me suis rarement autant amusé qu'en réalisant LES AVENTURES DE SHARK BOY ET LAVA GIRL et qu'en travaillant avec Rebel,” indique Rodriguez en parlant de son fils qui joue Tony. “Quand j'écrivais le scénario, j'ai eu un petit garçon et je me suis beaucoup inspiré de lui parce que sa coupe au bol me faisait penser au gamin de SHINING. Dans ces films d'horreur-là, les enfants ont toujours cette coupe au bol et le même style.” Tom Savini, qui a conçu le maquillage des zombies dans L'ARMEE DES MORTS, incarne le shérif adjoint Tolo. Bien qu'il soit plus connu comme maquilleur de films d'horreur, il s'est révélé un acteur de talent. “Nous avons élaboré le personnage ensemble,” note Rodriguez. “Tolo aurait sans doute dû être shérif, mais il a probablement subi un choc. Il risque de tirer sur la mauvaise personne. Il risque même de vous tirer dessus (rires) s'il panique. Il accomplit parfois des actes héroïques, mais il est différent du personnage qu'il interprétait dans UNE NUIT EN ENFER. Les gens vont être surpris par l'étendue de son registre.” Pour Nicotero, ancien protégé de Savini : “C'est un formidable comédien. J'étais sur le plateau la première nuit où il tournait sa scène importante, dans laquelle il perd un doigt. J'étais tellement fier de lui. Nous étions en voiture, de retour du tournage, et il était six heures du matin. Il était à l'avant, et moi à l'arrière, et je lui ai donné une petite tape sur l'épaule.” Rodriguez a écrit les rôles des Babysitter Twins pour ses nièces, Electra et Elise Avellan. Il leur avait demandé ce qu'elles faisaient comme petits boulots après l'école (du baby-sitting évidemment !), et leur avait dit en plaisantant que leur expérience lui inspirerait un jour des personnages de film. Par chance, Elise et Electra n'ont rien à voir avec les personnages hyper-agressifs qu'elles incarnent dans PLANETE TERREUR. “Je parie que tous les parents qui ont fait appel à nos services vont se dire ‘dis donc, ce ne seraient pas les baby-sitteuses à qui on a fait appel l'an dernier ?’," s'amuse à dire Elise. “C'est ça qu'elles font quand on a le dos tourné ?”, ajoute Electra. Finalement, Bruce Willis, qui a joué dans SIN CITY et UNE NUIT EN ENFER, et a travaillé sous la direction de Tarantino, a accepté de faire une apparition dans PLANETE TERREUR. Il donne d'ailleurs la réplique à deux comédiennes de BOULEVARD DE LA MORT, Marley Shelton et Rose McGowan. Tarantino s'est senti flatté de se voir confier le rôle du violeur : “C'est ce que j'aime tant dans les films de Rodriguez : deux des personnages les plus dangereux ne sont pas contaminés. Il s'agit ici du personnage de Josh Brolin et du violeur, qui est vraiment le ‘méchant’ du troisième acte du film.” “Je ne pense pas que Quentin avait l'intention, au départ, de jouer le violeur," reprend McGowan. “Il est venu à la séance de lecture, et il s'est révélé à la fois si convaincant, si inquiétant et si drôle à la fois, qu'il a décroché le rôle immédiatement.” “Je pense que pas mal de mes fans ne savent même pas que je suis metteur en scène,” s'amuse Tarantino. “Il ne me connaissent que par mes rôles dans les films de Robert.”

Planète terreur - un film Grindhouse - Quentin Tarantino, Rose McGowan et Marley Shelton

Planète terreur - un film Grindhouse - Rose McGowan

Planète terreur - un film Grindhouse - Freddy Rodriguez, Marley Shelton, Naveen Andrews et Rose McGowan

(BANDE ANNONCE VO)

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BOOGEYMAN 2 (BANDE ANNONCE VO 2008)

Publié le par ERIC-C

BOOGEYMAN 2

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de Jeff BETANCOURT

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avec Tobin Bell, Danielle Savre, David Gallagher, Mae Whitman, Michael Graziadei

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L'HISTOIRE : Terrifiée par le boogeyman, le légendaire "monstre du placard", une jeune femme se fait interner dans un hôpital psychiatrique en vue de se soigner...

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(BANDE ANNONCE VO NON ST 2008)



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DARK MATTER (BANDE ANNONCE VO 2006) avec Val Kilmer et Meryl Streep

Publié le par ERIC-C

DARK MATTER

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Film dramatique américain de Chen Shih-Shan

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avec Meryl Streep, Liu Ye, Val Kilmer, Aidan Quinn

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L'HISTOIRE : Des étudiants en science d'origine chinoise tuent, dans un mouvement de révolte, six personnes dans le campus de l'Université de l'Iowa en 1991. L'un d'eux étudiait les origines de l'univers et rêvait de remporter le Prix Nobel.

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(BANDE ANNONCE VO NON ST 2006)



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REDBELT (BANDE ANNONCE VO 2007) de David Mamet

Publié le par ERIC-C

REDBELT

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de David Mamet (Parrain d'un jour - Engrenages - Homicide - L'Honneur des Winslow - La Prisonnière espagnole - Séquences et conséquences - Braquages - Spartan)

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avec Chiwetel Ejiofor - Tim Allen - Emily Mortimer - Alice Braga - Joe Mantegna - Ricky Jay

Redbelt - Le réalisateur David Mamet sur le tournage

L'HISTOIRE : Un ancien maître du jiu-jitsu est amené à participer contre son gré à un tournoi d'arts martiaux.

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(BANDE ANNONCE VO NON ST 2007)

 



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